Nous avons eu à peine 48h d'escale à Auckland, on pensait initialement qu'on aurait 3 jours mais c'était sans compter que nous allions passer la fameuse ligne qui nous fait perdre un jour dans ce sens là, et oui, on a changé de date en quelques heures d'avion à peine. Nous n'avons donc pas vécu la journée du 29 septembre 2014, heureusement que ce n'est pas une date anniversaire ! L'arrivée à l'aéroport nous a rapidement mis dans l'ambiance du pays lorsque on a du déclarer si on avait du matériel de camping et équipements utilisés en extérieur. On a coopéré et c'était d'ailleurs plutôt loufoque de voir le contrôleur inspecter la semelle de mes chaussures de marche. La suite aussi nous a bien fait sourire quand on a du leur laisser notre tente pour inspection, il nous l'on d'ailleurs rendu toute défaite (quel culot!) et avaient pris le soin d'emballer nos sardines dans des lingettes aseptisées. Que ne ferait-on pas au nom de la bio-sécurité comme ils l'appellent ?!
Une fois le tout remballé, le patron de notre hébergement est passé nous récupérer. Néo-zélandais de naissance, attitude cool et décontractée, contact facile, un peu comme d'autres locaux qu'on sera amené à croiser, ici ils n'ont vraiment pas l'air de se prendre la tête et c'est plus chouette comme ressenti. D'ailleurs selon certaines études il semblerait que la Nouvelle-Zélande soit parmi les terres d'accueil où il fait particulièrement bon vivre.
Nous sommes resté trop peu pour se prononcer sur le sujet, toutefois, c'est vrai qu'on a bien profité et que l'atmosphère qui se dégage de cette ville est bien agréable.
C'est au cours d'une belle journée ensoleillée que nous avons rejoint l'embarcadère pour démarrer notre visite sur l'île de Davenport et profiter ainsi d'une ballade jusqu'au sommet du mont Victoria, joli point de vue sur Auckland, sa baie et ses grattes-ciel. La température à cette époque n'est pas très élevée mais on sent bien que le soleil tape fort. Apparemment à cet endroit du globe la couche d'ozone est particulièrement fine et protégerait beaucoup moins des rayons UV.
Ça ne nous a tout de même pas empêchés de continuer en longeant la joli plage de Cheltenham où s'alternent propriétés de haut standing et façades rocheuses abritant d'anciens bunkers datant de la 1ère guerre mondiale. Contraste intéressant.
On a traversé à nouveau la baie pour rejoindre le centre ville le temps d'une brève promenade en plein quartier d'affaire. C'est drôle d'y voir les piétons traverser ces grands carrefours, tous en même temps et de toute part même en diagonale, ça fait un peu anarchique. On a apprécié par ailleurs ce côté pratique, propre à Auckland ou à la Nouvelle-Zélande je ne sais pas mais en tout cas, on y trouve de l'eau potable en distribution libre, des bornes wifi un peu partout, et des garages à vélo disposés à la verticale. Simple et efficace.
De ce qu'on a pu voir, la vie à Auckland paraît facile et sans contrariétés inutiles. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Une fois le tout remballé, le patron de notre hébergement est passé nous récupérer. Néo-zélandais de naissance, attitude cool et décontractée, contact facile, un peu comme d'autres locaux qu'on sera amené à croiser, ici ils n'ont vraiment pas l'air de se prendre la tête et c'est plus chouette comme ressenti. D'ailleurs selon certaines études il semblerait que la Nouvelle-Zélande soit parmi les terres d'accueil où il fait particulièrement bon vivre.
Nous sommes resté trop peu pour se prononcer sur le sujet, toutefois, c'est vrai qu'on a bien profité et que l'atmosphère qui se dégage de cette ville est bien agréable.
C'est au cours d'une belle journée ensoleillée que nous avons rejoint l'embarcadère pour démarrer notre visite sur l'île de Davenport et profiter ainsi d'une ballade jusqu'au sommet du mont Victoria, joli point de vue sur Auckland, sa baie et ses grattes-ciel. La température à cette époque n'est pas très élevée mais on sent bien que le soleil tape fort. Apparemment à cet endroit du globe la couche d'ozone est particulièrement fine et protégerait beaucoup moins des rayons UV.
Ça ne nous a tout de même pas empêchés de continuer en longeant la joli plage de Cheltenham où s'alternent propriétés de haut standing et façades rocheuses abritant d'anciens bunkers datant de la 1ère guerre mondiale. Contraste intéressant.
On a traversé à nouveau la baie pour rejoindre le centre ville le temps d'une brève promenade en plein quartier d'affaire. C'est drôle d'y voir les piétons traverser ces grands carrefours, tous en même temps et de toute part même en diagonale, ça fait un peu anarchique. On a apprécié par ailleurs ce côté pratique, propre à Auckland ou à la Nouvelle-Zélande je ne sais pas mais en tout cas, on y trouve de l'eau potable en distribution libre, des bornes wifi un peu partout, et des garages à vélo disposés à la verticale. Simple et efficace.
De ce qu'on a pu voir, la vie à Auckland paraît facile et sans contrariétés inutiles. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Hey Gauthier, y'a aussi la ''laughing cow''! |
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