Lima a été pour nous une ville de transit, de Piura à Iquitos, d'Iquitos à Cusco, et enfin de Puno à Sao Paulo. Et en effet, Lima ne restera pour nous qu'une ville de transit. Je ne sais si c'est ce nuage permanent qui surplombe cette ville immense, car pourtant les Limeños sont des gens plutôt très agréables, mais il y règne une atmosphère qui donne envie de s'en aller partout ailleurs.
Je me dois de reprendre le contenu du Lonely Planet qui évoque nombre d'écrivains, d'Herman Melville dans le célèbre Moby Dick à Marios Vargas Llosa (prix Nobel de littérature), et encore bien d'autres, qui ont comparé Lima "au ventre d'une baleine morte", l'on décrite comme "la plus triste cité qu'on puisse voir" ou encore qui dépeint son "plafond en coton sale".
C'est ainsi que nous terminerons cet article car nous n'avons rien de plus à en dire. Désolée pour les 9 millions de Limeños.
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